lunes, 27 de enero de 2014

Des amis ayant-droit


En décembre au début de l'été, ils se sont connus.
Personne n’allait soupçonner ce qu’ils seraient devenus.
Tout commença, quand il s’offrit pour l’accompagner,
Selon lui à un endroit dangereux et sans pitié.

Pourtant lors de leur sortie, elle trouva cela tranquille,
Et lui ne cessa jamais de lui dire qu’elle courrait péril.
À leur retour, il lui offrit à manger, mais elle ne pouvait
Pas accepter car elle devait avec la famille déjeuner

C’est alors que plusieurs soirs ils sont allés au ciné,
Après l’avoir accompagné chez elle, ils sont restés.
Plein de verres après, les deux étaient saouls et vulnérables,
Et au lit toutes les envies se sont vues interminables.

Des longs mois passèrent
Et eux ne pouvaient cesser
La passion et l’envie étaient flamboyantes
Les mensonges et les faux espoirs pourtant
Ne disparaissaient pas, cela
Ne faisait que changer le plat.

Tout amers, sans goût et las,
Les sorties et les câlins restaient là.
Pendant qu’elle vivait toute aveuglée
Lui ne faisait qu’en profiter.
Mais sous tous les blasphèmes, lui
Imaginait un seul souvenir de folie.

Celle qui lui avait arraché le cœur
Quelques temps auparavant sans mœurs.
Sans pouvoir l’oublier ni la laisser aller,
Il ne faisait que se faire mal exprès.

Le « bon » gars avec plein de fantaisies
Et la jolie fille avec des fausses mélodies,
Continuèrent leurs histoires sans espoir.
Jusqu’au jour où tout sortit du noir.

Elle ne pouvait pas le croire, avertie
Avant, que des choses elle entendit
Mais la sourde oreille elle faisait
Maintenant elle ne pouvait qu’écouter.

Lui, le gars, le chien remplissait ces trous,
Avec des femmes qui ne valait ni des cailloux.

L’une de ces femmes était de son entourage
Comme s’il avait cherché un piège.
Au moment de l’affronter elle fut sincère
Mais lui ne fit qu’éviter la vérité.

Les liens se sont brisés et tout
Ne pouvait plus être comme avant
Rien ne ressemblera plus aux bisous
Qu'une fois avaient un autre sentiment.

La morale ne va que dans un sens,
Il faut éviter de s’emmêler sans surveillance.


-- Lorena Duranthon